Vous êtes jeune diplômé en chirurgie dentaire et prêt à vous lancer en libéral ? Avant de poser votre plaque, il y a un facteur que vous ne pouvez plus ignorer : le nouveau zonage conventionnel entré en vigueur en 2025.
Avec plus de 48 000 chirurgiens-dentistes en exercice en France, et une croissance attendue de 18 % d’ici 2040, la répartition des professionnels devient un véritable enjeu de santé publique. À tel point que 30 % de la population française vit désormais dans des zones classées “très sous-dotées”, prioritaires pour l’installation.
Objectif des pouvoirs publics : rééquilibrer l’accès aux soins dentaires, en encourageant l’installation dans les zones en tension… et en régulant les arrivées dans les zones surdotées. Résultat : la liberté d’installation, autrefois acquise, est désormais conditionnée à une série de critères stricts.
Dans cet article, on vous aide à y voir clair :
- Comment fonctionne ce nouveau zonage ?
- Quelles zones sont à éviter, et lesquelles offrent des opportunités ?
- Quelles aides pouvez-vous obtenir pour vous installer ?
- Et surtout : comment prendre les bonnes décisions pour démarrer sereinement votre activité ?
Les nouvelles règles du jeu : ce que change le zonage 2025
Une réforme pour rééquilibrer l’accès aux soins dentaires
Depuis le 1er janvier 2025, le paysage de l’installation des chirurgiens-dentistes en France a été profondément modifié par la mise en place d’un nouveau zonage conventionnel. Cette réforme vise à corriger les déséquilibres dans la répartition des professionnels de santé bucco-dentaire sur le territoire national.
Le zonage est désormais défini par les Agences Régionales de Santé (ARS) en collaboration avec l’Assurance Maladie, en s’appuyant sur des critères tels que l’offre et la demande de soins, le niveau d’activité des praticiens en exercice, les besoins de soins bucco-dentaires de la population, le taux de patients en Affection Longue Durée (ALD) et le taux de bénéficiaires de la Complémentaire Santé Solidaire.
Cinq catégories de zones pour une régulation ciblée
Le territoire national est désormais divisé en cinq catégories de zones :
- Zones très sous-dotées : zones avec une faible densité de chirurgiens-dentistes, éligibles aux aides conventionnelles de l’Assurance Maladie et aux aides éventuelles des collectivités territoriales.
- Zones sous-dotées : zones nécessitant une attention particulière, éligibles aux aides éventuelles des collectivités territoriales.
- Zones intermédiaires : zones où l’offre de soins est considérée comme équilibrée.
- Zones très dotées : zones avec une forte densité de praticiens.
- Zones non prioritaires (ZNP) : zones où l’offre de soins est la plus dense, soumises à une régulation stricte du conventionnement.
Implications pour les chirurgiens-dentistes
Cette nouvelle classification a des implications directes pour les chirurgiens-dentistes souhaitant s’installer en libéral :
- Zones très sous-dotées : les praticiens peuvent bénéficier d’aides financières significatives pour leur installation ou le maintien de leur activité.
- Zones sous-dotées : des aides peuvent être disponibles, principalement via les collectivités territoriales.
- Zones intermédiaires et très dotées : aucune aide spécifique n’est prévue, mais l’installation reste libre.
- Zones non prioritaires (ZNP) : l’installation est soumise à une régulation stricte. Le conventionnement n’est possible qu’en remplacement d’un praticien conventionné cessant son activité, selon le principe du “un pour un”.
Il est donc essentiel pour les chirurgiens-dentistes, notamment les jeunes praticiens, de bien comprendre cette nouvelle répartition pour faire des choix éclairés concernant leur lieu d’installation.

Les 5 catégories de zonage expliquées simplement
Depuis le 1er janvier 2025, le territoire français est divisé en cinq catégories de zones, déterminées par les Agences Régionales de Santé (ARS) en collaboration avec l’Assurance Maladie. Cette classification vise à rééquilibrer l’offre de soins dentaires sur le territoire national.
1. Zones très sous-dotées
Ces zones sont caractérisées par une densité très faible de chirurgiens-dentistes par rapport à la population. Elles représentent environ 30 % de la population française. Les praticiens souhaitant s’y installer peuvent bénéficier d’aides financières significatives, telles qu’une subvention de 50 000 € en contrepartie d’un engagement de 5 ans non renouvelable, et une aide au maintien d’activité de 4 000 €/an pour l’équipement du cabinet.
2. Zones sous-dotées
Ces zones présentent également une densité insuffisante de praticiens, mais à un niveau moins critique que les zones très sous-dotées. Elles couvrent environ 15 % de la population. Les aides à l’installation peuvent être disponibles, principalement via les collectivités territoriales .
3. Zones intermédiaires
Dans ces zones, l’offre de soins est considérée comme équilibrée. Aucune aide spécifique n’est prévue, mais l’installation reste libre.
4. Zones très dotées
Ces zones ont une forte densité de praticiens. Bien que l’installation y soit encore possible, aucune aide n’est prévue, et la concurrence peut y être plus intense.
5. Zones non prioritaires (ZNP)
Ces zones, où l’offre de soins est la plus dense, sont soumises à une régulation stricte du conventionnement. Depuis le 1er janvier 2025, l’installation y est conditionnée au remplacement d’un praticien conventionné cessant son activité, selon le principe du “un pour un” .
Il est essentiel pour les chirurgiens-dentistes, notamment les jeunes praticiens, de bien comprendre cette classification pour faire des choix éclairés concernant leur lieu d’installation.

Exercer en zone non prioritaire (ZNP) : ce qu’il faut savoir
Depuis le 1er janvier 2025, les zones non prioritaires (ZNP) sont soumises à une régulation stricte du conventionnement.Ce dispositif vise à limiter la densité de praticiens dans les zones déjà bien pourvues.
Qui est concerné ?
La régulation s’applique aux :
- Chirurgiens-dentistes libéraux titulaires
- Collaborateurs libéraux
- Centres de santé dentaires
Sont exclus de cette régulation :
- Les spécialistes en médecine bucco-dentaire
- Les spécialistes en chirurgie orale
- Les spécialistes en orthopédie dento-faciale
- Les médecins spécialistes habilités à pratiquer la médecine bucco-dentaire
Le principe du “1 pour 1”
Pour obtenir un conventionnement en ZNP, il est nécessaire de succéder à un praticien conventionné cessant définitivement son activité dans la même zone. Ce principe garantit un équilibre entre départs et nouvelles installations.
Démarches à suivre
- Cessation d’activité en ZNP : le praticien peut désigner un successeur dans un délai de 12 mois. Le successeur doit effectuer les démarches auprès de la caisse d’assurance maladie du département, en joignant une attestation signée par le praticien cessant son activité.
- Reprise d’un cabinet en ZNP : le candidat doit fournir une attestation remplie et signée par le praticien dont il assure la succession. La demande est examinée par la commission paritaire départementale (CPD).
- Création d’un cabinet en ZNP sans succession : le conventionnement est soumis à l’existence de places vacantes.La CPD peut étudier des situations dérogatoires, comme des contraintes personnelles ou professionnelles spécifiques.
Délais de réponse
Une fois le dossier complet, la caisse d’assurance maladie dispose de 30 jours pour saisir la CPD, qui a ensuite 30 jours pour statuer. Le directeur de la caisse a 15 jours supplémentaires pour notifier la décision. Ainsi, le délai maximal est de 75 jours.
Cas particuliers
Des dérogations peuvent être accordées en cas de :
- Situation médicale grave
- Mutation professionnelle du conjoint
- Situation juridique personnelle entraînant un changement d’adresse
Ces demandes sont examinées au cas par cas par la CPD.
Ce que vous gagnez (ou perdez) selon la zone choisie
Zones très sous-dotées : des incitations financières attractives
S’installer dans une zone très sous-dotée offre des avantages financiers significatifs. Le contrat d’aide à l’installation (CAICD) propose une subvention de 50 000 €, versée en deux fois : 25 000 € la première année et 25 000 € la troisième année. En contrepartie, le praticien s’engage à exercer au moins deux jours par semaine pendant cinq ans dans la zone.
De plus, le contrat d’aide au maintien de l’activité (CAMCD) offre une aide annuelle de 4 000 € pendant trois ans, destinée à soutenir les praticiens déjà installés dans ces zones.
Zones sous-dotées : des opportunités à considérer
Les zones sous-dotées, bien que moins critiques, peuvent bénéficier d’aides spécifiques attribuées par les collectivités territoriales. Ces aides varient selon les régions et peuvent inclure des subventions à l’installation, des exonérations fiscales ou des aides au logement.
Zones intermédiaires et très dotées : liberté d’installation, mais sans soutien financier
Dans ces zones, l’installation reste libre, mais aucune aide financière spécifique n’est prévue. La concurrence peut y être plus intense, notamment dans les zones très dotées où la densité de praticiens est élevée.
Zones non prioritaires (ZNP) : une régulation stricte du conventionnement
Depuis le 1er janvier 2025, l’installation dans les zones non prioritaires est soumise à une régulation stricte. Le conventionnement n’est possible que si un praticien conventionné cesse définitivement son activité dans la zone, selon le principe du “un pour un”.
Le praticien cessant son activité dispose d’un délai d’un an pour désigner son successeur. Passé ce délai, le conventionnement disponible est attribué par la commission paritaire départementale (CPD) à un autre praticien.
Certaines exceptions à cette régulation existent, notamment pour les chirurgiens-dentistes spécialistes en médecine bucco-dentaire, en chirurgie orale ou en orthodontie, ainsi que dans des situations personnelles particulières (mutation professionnelle du conjoint, divorce, maladie grave, etc.).

Les aides à l’installation et au maintien : un levier trop souvent ignoré
Pour les chirurgiens-dentistes envisageant de s’installer ou de maintenir leur activité dans des zones très sous-dotées, deux dispositifs d’aide financière sont disponibles :
Le contrat d’aide à l’installation des chirurgiens-dentistes (CAICD)
Ce contrat vise à soutenir les praticiens qui s’installent dans une zone identifiée comme “très sous-dotée” par l’Agence Régionale de Santé (ARS).
Conditions d’éligibilité :
- S’installer ou être installé depuis moins d’un an dans une zone “très sous-dotée”.
- Exercer une activité libérale conventionnée à titre principal, c’est-à-dire au moins 2 jours par semaine dans la zone.
- Être titulaire ou collaborateur libéral du cabinet dentaire.
- Ne pas être adhérent à un autre contrat incitatif en cours.
Montant de l’aide :
Une aide forfaitaire de 50 000 €, versée en deux fois : 25 000 € la première année et 25 000 € la troisième année du contrat.
Engagements du praticien :
- Exercer à titre principal dans la zone pendant 5 ans.
- Remplir les conditions pour percevoir les aides à l’équipement informatique du cabinet professionnel.
- Informer la caisse d’assurance maladie de toute intention de cesser l’activité dans la zone avant la fin du contrat.
Le contrat d’aide au maintien des chirurgiens-dentistes (CAMCD)
Ce contrat est destiné aux praticiens déjà installés dans une zone “très sous-dotée” et vise à les aider à maintenir leur activité.
Conditions d’éligibilité :
- Être installé dans une zone “très sous-dotée”.
- Exercer une activité libérale conventionnée dans la zone, à titre individuel ou en groupe.
- Être titulaire du cabinet ou collaborateur libéral.
Montant de l’aide :
Une aide forfaitaire de 4 000 € par an, versée pendant 3 ans.
Engagements du praticien :
- Exercer dans la zone pendant toute la durée du contrat, soit 3 ans.
- Remplir les conditions pour percevoir les aides à l’équipement informatique du cabinet professionnel.
- Informer la caisse d’assurance maladie de toute intention de cesser l’activité dans la zone avant la fin du contrat.
Ces aides financières constituent des leviers importants pour encourager l’installation et le maintien des chirurgiens-dentistes dans les zones où l’offre de soins est insuffisante. Elles permettent de compenser les contraintes liées à l’exercice dans ces territoires et de garantir un accès équitable aux soins dentaires pour l’ensemble de la population.
Comment identifier les zones favorables à votre projet ?
Pour les chirurgiens-dentistes, notamment les jeunes praticiens souhaitant s’installer, il est essentiel de choisir une zone géographique adaptée à leur projet professionnel. Le zonage mis en place par les Agences Régionales de Santé (ARS) classe les territoires en cinq catégories : très sous-dotées, sous-dotées, intermédiaires, très dotées et non prioritaires. Ce classement est basé sur des critères tels que la densité de professionnels de santé, les besoins de la population et l’accessibilité aux soins.
Utiliser les outils disponibles
Pour identifier la zone correspondant à votre projet, plusieurs outils sont à votre disposition :
- CartoSanté : une plateforme interactive qui permet de visualiser les zones de manière précise. Vous pouvez y consulter les cartes de zonage actualisées, les indicateurs de densité de professionnels de santé et d’autres données pertinentes.
- Sites des ARS : chaque ARS publie les arrêtés de zonage pour sa région. Ces documents détaillent les communes concernées et les aides disponibles.
Étapes pour identifier votre zone
- Consultez CartoSanté : entrez l’adresse ou la commune envisagée pour votre installation afin de connaître sa classification.
- Vérifiez les aides disponibles : en fonction de la zone, des aides à l’installation ou au maintien peuvent être proposées. Les zones très sous-dotées offrent généralement les aides les plus attractives.
- Contactez l’ARS de votre région : pour obtenir des informations complémentaires et confirmer les données recueillies.
Importance du choix de la zone
Le choix de la zone d’installation a des implications significatives sur votre exercice professionnel :
- Accès aux aides financières : certaines zones offrent des subventions importantes pour l’installation ou le maintien de l’activité.
- Régulation du conventionnement : dans les zones non prioritaires, l’installation est soumise à des conditions strictes, comme le remplacement d’un praticien partant.
- Potentiel de patientèle : les zones sous-dotées ou très sous-dotées présentent souvent une demande plus forte en soins dentaires.
En conclusion, une analyse approfondie du zonage est indispensable pour optimiser votre projet d’installation en tant que chirurgien-dentiste. Utilisez les outils disponibles et n’hésitez pas à solliciter l’accompagnement des ARS pour prendre une décision éclairée.

Les erreurs à éviter lors de l’installation
S’installer en tant que chirurgien-dentiste est une étape cruciale qui nécessite une préparation minutieuse. Voici les erreurs les plus courantes à éviter pour assurer le succès de votre cabinet.
1. Négliger l’accompagnement professionnel
Beaucoup de jeunes praticiens sous-estiment l’importance de se faire accompagner lors de leur installation. Pourtant, s’entourer de professionnels tels qu’un expert-comptable, un juriste ou un architecte spécialisé peut éviter bien des écueils. Ces experts vous aideront à élaborer un budget prévisionnel, à rédiger les statuts de votre entreprise et à concevoir un cabinet conforme aux normes en vigueur.
2. Choisir une zone surdotée sans analyse préalable
S’installer dans une zone déjà saturée de praticiens peut compromettre la viabilité de votre cabinet. Il est essentiel d’étudier la démographie professionnelle et la densité de chirurgiens-dentistes dans la région envisagée. Les zones très dotées ou non prioritaires présentent une concurrence accrue et des restrictions au conventionnement.
3. Sous-estimer les obligations réglementaires
Le respect des normes d’hygiène, de sécurité et de radioprotection est impératif. Cela inclut la mise en place d’une salle de stérilisation distincte, l’utilisation de matériel conforme et la gestion appropriée des déchets médicaux. Ignorer ces obligations peut entraîner des sanctions et compromettre la sécurité des patients.
4. Ne pas anticiper le management du cabinet
Gérer un cabinet dentaire ne se limite pas à prodiguer des soins. Il faut également savoir manager une équipe, organiser le travail et assurer une communication efficace. L’absence de stratégie managériale peut conduire à des dysfonctionnements et à une baisse de la qualité des soins.
5. Omettre de se concentrer sur son cœur de métier
En tant que professionnel de santé, votre priorité doit rester la qualité des soins. Déléguer les tâches administratives, comptables et logistiques à des collaborateurs compétents vous permettra de vous concentrer sur votre expertise clinique.
En évitant ces erreurs courantes, vous mettrez toutes les chances de votre côté pour réussir votre installation et développer un cabinet prospère.
Pourquoi viser les zones très sous-dotées ?
S’installer en zone très sous-dotée (ZTSD) n’est pas seulement une opportunité financière : c’est aussi un choix stratégique pour les jeunes chirurgiens-dentistes qui souhaitent développer rapidement leur activité tout en répondant à un besoin réel de santé publique.
1. Des aides financières attractives
Les zones très sous-dotées offrent des incitations financières significatives pour encourager l’installation des praticiens.
- Contrat d’aide à l’installation des chirurgiens-dentistes (CAICD) : une subvention de 50 000 €, versée en deux fois (25 000 € la première année et 25 000 € la troisième année), en contrepartie d’un engagement d’exercer pendant cinq ans dans la zone concernée.
- Contrat d’aide au maintien des chirurgiens-dentistes (CAMCD) : une aide forfaitaire de 4 000 € par an pendant trois ans, renouvelable, destinée aux praticiens déjà installés dans une ZTSD.
Ces aides visent à compenser les frais d’investissement liés au début d’activité (locaux, équipements, charges diverses) et à limiter les contraintes financières pesant sur le professionnel.
2. Un potentiel de patientèle élevé
Les zones très sous-dotées sont caractérisées par une faible densité de professionnels de santé, ce qui signifie une demande importante en soins dentaires non satisfaite. S’installer dans ces zones permet donc de bénéficier d’un flux de patients régulier et d’une activité soutenue dès les premiers mois. De plus, cela contribue à réduire les inégalités territoriales d’accès aux soins dentaires.
3. Des opportunités de développement professionnel
En s’installant dans une ZTSD, les chirurgiens-dentistes peuvent bénéficier d’un environnement propice au développement de leur activité :
- Moins de concurrence, permettant de se positionner rapidement comme un acteur de référence dans la région.
- Possibilité de diversifier les services proposés (implantologie, orthodontie, etc.) pour répondre aux besoins spécifiques de la population locale.
- Accès à des dispositifs d’accompagnement et de formation continue pour renforcer ses compétences.
4. Un cadre de vie souvent privilégié
Les ZTSD se situent souvent dans des zones rurales ou périurbaines offrant un cadre de vie agréable, avec un coût de la vie généralement inférieur à celui des grandes agglomérations. Cela peut représenter un atout pour les praticiens souhaitant concilier vie professionnelle épanouissante et qualité de vie personnelle.
Faire les bons choix pour mieux soigner
S’installer comme chirurgien-dentiste n’a jamais été une décision aussi stratégique. Le zonage 2025 redéfinit les règles du jeu et impose de penser différemment son avenir professionnel. Entre opportunités dans les zones très sous-dotées et contraintes dans les zones non prioritaires, chaque choix a un impact direct sur votre liberté d’exercice, votre rémunération, et votre qualité de vie.
Que vous soyez en fin d’études, en reconversion ou déjà installé, une chose est certaine : mieux vous êtes accompagné, plus vous ferez les bons choix.

Un bon choix de zone, c’est jusqu’à 50 000 € d’aides à l’installation.
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