En 2025, les entreprises de taille intermédiaire (ETI) françaises intensifient leurs investissements dans les technologies numériques. Selon le baromètre EY « Future Ready », près de la moitié des dirigeants d’ETI prévoient d’augmenter leurs budgets dédiés à la transformation numérique, tandis que seulement 6 % envisagent de les réduire.
Cette dynamique est soutenue par des initiatives européennes majeures. La Commission européenne a annoncé un investissement de 1,3 milliard d’euros dans l’intelligence artificielle, la cybersécurité et les compétences numériques dans le cadre du programme Digital Europe pour la période 2025-2027.
Dans ce contexte, cet article explore les priorités d’investissement des ETI en matière de cybersécurité, d’intelligence artificielle et de transformation digitale pour 2025. Il s’appuie sur des données récentes et des analyses sectorielles pour offrir une vision claire des tendances actuelles et des opportunités à saisir.
Pourquoi 2025 marque un tournant pour les ETI
2025 n’est pas une année comme les autres pour les entreprises de taille intermédiaire. Entre incertitudes économiques, pressions concurrentielles et opportunités technologiques inédites, les ETI françaises se trouvent à un carrefour stratégique. Leur capacité à investir de façon ciblée dans les bons leviers technologiques déterminera leur résilience… et leur croissance.
Des investissements maintenus malgré le contexte
Malgré un climat macroéconomique encore incertain – inflation persistante, tensions géopolitiques, ralentissement de la croissance – les ETI ne freinent pas leurs ambitions. Au contraire, une enquête OpinionWay pour Grant Thornton révèle que 45 % des dirigeants d’ETI prévoient d’augmenter leurs investissements en 2025, un signe fort de confiance dans le levier technologique.
💡 Seules 8 % des ETI envisagent de réduire leurs budgets d’investissement technologique. Cela confirme une approche plus sélective, mais résolument offensive.
Trois priorités dominent les feuilles de route technologiques
Selon Gartner, plus de 80 % des DSI en Europe comptent renforcer leurs investissements dans trois domaines clés :
- Cybersécurité
- Intelligence artificielle
- Analytique de données (BI)
La transformation numérique ne se limite plus à l’automatisation : elle s’oriente vers la sécurisation et l’exploitation intelligente de l’information.
📉 En parallèle, 43 % des DSI prévoient de réduire leurs dépenses dans les infrastructures legacy(datacenters, logiciels vieillissants) au profit du cloud et des solutions flexibles.
Une course à la valeur et au retour sur investissement
Les dirigeants d’ETI ne cherchent plus seulement à digitaliser pour digitaliser. Ils veulent des résultats. Pourtant, selon Gartner, moins d’une initiative numérique sur deux (48 %) atteint ses objectifs business. Deux causes principales :
- Un déficit de compétences internes
- Une faible implication des métiers dans la stratégie technologique
📊 Seulement 14 % des DSI priorisent la formation des talents. Et seuls 19 % impliquent davantage les départements métiers dans les projets digitaux.
L’État, moteur d’impulsion stratégique
Les pouvoirs publics jouent aussi leur rôle. Par exemple :
- Bpifrance a lancé un plan de 10 Md€ pour soutenir l’adoption de l’IA dans les PME-ETI.
- Le programme AI Booster France 2030 et le crédit d’impôt innovation prolongé encouragent les projets à forte valeur ajoutée.
- En cybersécurité, des aides de l’ANSSI ou du Plan France Relance permettent aux ETI de se protéger plus efficacement.
2025 marque un recentrage stratégique : les ETI concentrent leurs investissements sur les outils qui améliorent réellement leur performance, avec un accent fort sur la sécurité et l’intelligence. Le numérique n’est plus un coût : c’est un levier de compétitivité incontournable.

Transformation digitale : la consolidation après l’urgence
Longtemps perçue comme une innovation de rupture, la transformation digitale est devenue une routine stratégique pour les ETI. En 2025, cette dynamique n’est plus une option : elle structure la compétitivité et la capacité d’adaptation de ces entreprises face à un environnement économique mouvant.
Une maturité numérique atteinte, mais inégalement exploitée
La majorité des ETI françaises ont déjà franchi le cap de la digitalisation de base. Selon le baromètre EY-Numeum 2024 :
- 76 % des dirigeants d’ETI estiment que leur stratégie numérique est à un stade avancé ou maîtrisé, contre 59 % en 2017.
- 98 % des entreprises françaises de plus de 20 salariés sont engagées dans une démarche de digitalisation.
Cela se traduit par :
- Des ERP modernisés et interconnectés
- Des outils collaboratifs généralisés
- Une dématérialisation avancée des processus administratifs et financiers
- Une utilisation croissante de la donnée pour le pilotage (BI)
✅ Les fondamentaux technologiques sont en place. L’heure est désormais à l’optimisation, l’automatisation et l’extraction de valeur.
Trois chantiers stratégiques en 2025
D’après les dernières études sectorielles, les priorités d’investissement des ETI se concentrent sur :
1. Cybersécurité (préoccupation n°1 pour 76 % des dirigeants)
La digitalisation augmente la surface d’exposition aux risques. Résultat : les budgets alloués à la cybersécurité explosent (on y reviendra plus loin).
2. Automatisation et dématérialisation des processus
Près de 59 % des ETI poursuivent l’automatisation, en particulier dans les fonctions support (finance, gestion, RH). Parmi les outils prisés :
- RPA (Robotic Process Automation)
- Workflows de validation numérique
- Facture électronique
Objectif : réduire les tâches manuelles, gagner du temps et fiabiliser les opérations.
3. Pilotage par la data
53 % des ETI placent la Business Intelligence et l’analytics au cœur de leur stratégie :
- Déploiement de data lakes, entrepôts de données
- Tableaux de bord interactifs
- Suivi de KPI opérationnels et financiers en temps réel
🎯 Le défi ? Passer du reporting à la prédiction. Et cela nécessite des compétences que beaucoup d’ETI n’ont pas encore internalisées.
Des budgets en croissance, mais plus sélectifs
Selon IDC, les dépenses mondiales en transformation digitale croissent de +16,1 %/an jusqu’en 2027, atteignant 3 900 Md$. En France :
- Le marché numérique représente 70 à 75 Md€ en 2025.
- La croissance du digital est estimée à +4 %, légèrement au-dessus de 2024.
Mais attention : les ETI deviennent plus exigeantes. Les dirigeants cherchent des preuves concrètes de ROI. Un investissement ne se justifie plus seulement par l’innovation, mais par ses retombées mesurables.
Facteurs humains : la clé du succès (ou de l’échec)
Le principal frein n’est plus technologique, mais humain. En 2025 :
- 57 % des dirigeants d’ETI identifient la résistance interne au changement comme leur premier obstacle.
- La formation et la conduite du changement deviennent prioritaires.
👥 Une solution technologique non adoptée = une transformation échouée. L’accompagnement des équipes est aussi stratégique que le choix des outils.
Zoom secteur : ETI industrielles en mutation
Le secteur industriel illustre parfaitement cette dynamique. Exemple emblématique :
- Le groupe Lacroix a investi 25 M€ dans son usine « Symbiose », hyperconnectée et automatisée, intégrant IoT, big data et robotique.
Mais 51 % des ETI industrielles évoquent une pénurie de compétences numériques pour accompagner ces projets. Résultat : elles nouent des partenariats avec des startups ou des ESN pour accélérer leur montée en puissance.
La transformation digitale des ETI en 2025 est entrée dans une phase de consolidation stratégique. Les entreprises ne cherchent plus à “faire du digital” mais à en tirer de la valeur tangible. Cela implique une meilleure gouvernance, un pilotage par la donnée et une culture du changement bien ancrée.

Intelligence artificielle : entre engouement et prudence
L’intelligence artificielle a franchi un seuil critique dans l’esprit des dirigeants d’ETI. Autrefois considérée comme une technologie expérimentale, elle est aujourd’hui identifiée comme un levier stratégique, notamment depuis l’irruption massive de l’IA générative en entreprise.
Une prise de conscience massive
D’après le Boston Consulting Group, 89 % des dirigeants placent l’IA parmi leurs trois priorités technologiques majeures. Ce chiffre grimpe à 92 % chez les décideurs français, qui annoncent vouloir augmenter leurs investissements IA dès 2025. Les ETI ne veulent pas passer à côté d’un potentiel de transformation perçu comme disruptif, à la fois dans leurs produits, leurs processus internes et leur modèle de valeur.
En 2024, seulement 5 % des ETI françaises considéraient l’IA comme un investissement prioritaire. En 2025, on assiste à une bascule rapide vers une adoption à grande échelle.
Des cas d’usage concrets émergent
L’IA ne se résume plus à des prototypes ou des Proof of Concept. Elle est désormais intégrée dans les processus métiers, en particulier dans trois fonctions clés :
- Marketing et relation client (chatbots, personnalisation, scoring)
- Opérations et logistique (optimisation de tournées, maintenance prédictive)
- R&D et innovation produit (analyse de données, génération de concepts)
Selon McKinsey, 72 % des entreprises utilisent déjà l’IA dans au moins une fonction, et 65 % exploitent des outils d’IA générative – un doublement en un an. En France, l’adoption de l’IA générative par les PME-ETI est passée de 15 % à 31 % entre 2023 et 2024.
Des ETI françaises comme Heppner, dans la logistique, utilisent l’IA pour fluidifier la chaîne d’approvisionnement. D’autres intègrent l’IA dans leurs systèmes RH pour le tri de CV ou la planification automatisée.
Des budgets en forte hausse
La dynamique budgétaire suit cette accélération :
- Entre 2023 et 2024, les dépenses IA des entreprises françaises ont augmenté de +430 % selon Spendesk, passant de 335 k€ à 1,78 M€ en moyenne.
- En 2025, Gartner anticipe une croissance de +21 % des services IT liés à l’IA, atteignant 94 Md$ en Europe.
- 84 % des DSI annoncent une augmentation de leur budget IA pour l’année.
Le modèle évolue également : après une phase d’investissements en infrastructures internes, les ETI privilégient désormais des solutions SaaS ou API intégrables, plus accessibles et scalables. Cette approche plus “mature” leur permet de bénéficier de la puissance de l’IA sans supporter le coût d’un développement sur mesure.
Une adoption encore inégale
Malgré l’euphorie, beaucoup d’ETI restent en phase exploratoire. L’adoption reste fragmentée, souvent limitée à quelques projets pilotes. La prudence s’explique par plusieurs facteurs :
- Manque de compétences internes (38 % des dirigeants ont engagé un plan de montée en compétences en IA)
- Données silotées ou peu exploitables
- Absence de stratégie IA claire
- Préoccupations éthiques ou réglementaires
90 % des dirigeants mondiaux admettent n’expérimenter l’IA qu’à petite échelle, par prudence. Ce décalage entre l’intention et l’action reste fort chez les ETI.
ROI : des attentes élevées, mais encore floues
Un des grands défis en 2025 sera de quantifier la valeur réelle de l’IA. Les entreprises attendent des gains sur :
- La productivité
- La satisfaction client
- L’innovation produit
- Les économies de coûts
Mais pour que cela fonctionne, encore faut-il disposer de données fiables, d’une intégration métier efficace et d’une capacité à mesurer les impacts. Gartner note que beaucoup d’entreprises ont sous-estimé l’effort de transformation humaine nécessaire autour des projets IA.
La question n’est donc plus “faut-il investir dans l’IA ?” mais “comment intégrer l’IA de manière structurée, rentable et alignée avec notre stratégie métier ?”

Cybersécurité : la priorité absolue des ETI
Aucune transformation digitale ne peut s’envisager sans une infrastructure de sécurité solide. En 2025, la cybersécurité ne se contente plus d’être un sujet IT : elle devient un impératif stratégique, discuté au comité de direction et scruté par les partenaires, les clients, et même les assureurs.
Des menaces en hausse constante
Les ETI ne sont plus en dehors du radar. Elles sont au contraire devenues des cibles de choix pour les cybercriminels. Rançongiciels, hameçonnage, vols de données sensibles, fraude interne : les attaques sont plus nombreuses, plus sophistiquées, et parfois dévastatrices.
Un tiers des ETI françaises a subi au moins une cyberattaque significative sur les 12 derniers mois. Ce chiffre, bien que préoccupant, est en léger recul par rapport à 2021, ce qui montre que les investissements récents commencent à porter leurs fruits.
99 % des dirigeants d’ETI affirment avoir sensibilisé leurs équipes à la cybersécurité. Le sujet est devenu transversal, impliquant tous les départements.
Des budgets sanctuarisés
Selon Gartner, plus de 80 % des DSI EMEA augmenteront leur budget cybersécurité en 2025, faisant de ce poste de dépense l’un des seuls systématiquement protégés, même en période de tension budgétaire.
Les investissements se concentrent sur :
- Des solutions EDR (Endpoint Detection & Response)
- Des pare-feux nouvelle génération
- La segmentation réseau (limiter la propagation des attaques)
- Des outils SIEM et d’analyse comportementale
La cyber-résilience devient la nouvelle norme : il ne s’agit plus seulement de prévenir l’attaque, mais de s’assurer que l’entreprise peut redémarrer rapidement si un incident survient.
Dans certaines ETI, plus d’un tiers du budget IT est désormais consacré à la cybersécurité.
Des pratiques encore inégalement diffusées
Malgré des progrès, beaucoup d’ETI n’appliquent pas encore les fondamentaux. Le baromètre Visiativ révèle par exemple que :
- Seules 33 % des petites ETI ont mis en place l’authentification multifacteur (MFA).
- Plus de 65 % n’ont pas de responsable dédié à la cybersécurité.
- Les tests de pénétration (pentests) ont doublé en un an (33 % des ETI en 2024 vs 16 % en 2023), mais la sensibilisation du personnel est en baisse (–9 pts).
Le risque principal reste donc l’erreur humaine, première cause des failles de sécurité. Les meilleures technologies ne suffisent pas sans formation continue.
Vers une gouvernance plus mature
Seulement 18 % des ETI disposent d’un CISO ou RSSI à temps plein. Le reste des fonctions cyber est souvent assumé par le DSI ou un manager IT surchargé. En réponse, des modèles émergent :
- RSSI externalisés (mutualisation des compétences cyber entre plusieurs PME/ETI)
- SOC mutualisés (supervision 24/7 externalisée)
- Adoption progressive du modèle Zero Trust (vérification permanente de chaque accès, gestion fine des droits)
Cette gouvernance s’accompagne d’exigences croissantes :
- Les donneurs d’ordre imposent des standards de sécurité à leurs sous-traitants.
- Les assureurs cybersécurité conditionnent leurs couvertures à des mesures précises (MFA, PRA, audits…).
- La directive NIS2 et d’autres réglementations européennes imposent des obligations de sécurité renforcées pour certains secteurs d’activité.
Une opportunité d’image et de confiance
Les ETI les plus avancées n’hésitent plus à valoriser leur posture cyber auprès de leurs clients :
- Labels et certifications (ISO 27001, ExpertCyber…)
- Communication sur les dispositifs de protection mis en place
- Réassurance sur la gestion des données personnelles
Dans un écosystème de plus en plus interconnecté, la cybersécurité devient un argument commercial autant qu’un bouclier défensif. Être en conformité et afficher sa solidité informatique renforce la crédibilité et la compétitivité.

Quelles priorités sectorielles pour les ETI ?
Toutes les ETI ne vivent pas leur transformation technologique de la même manière. Les priorités d’investissement en cybersécurité, IA ou digital varient fortement selon les secteurs d’activité, leur exposition au risque, leur niveau de maturité technologique et leurs enjeux propres de compétitivité.
Industrie : digitalisation poussée, sécurité perfectible
Les ETI industrielles ont été parmi les premières à initier des projets de digitalisation profonde. On y retrouve des investissements lourds dans :
- La robotisation et l’automatisation
- L’IoT industriel (capteurs connectés, maintenance prédictive)
- Les plateformes de gestion de production (MES)
- L’analyse de données pour l’optimisation énergétique et la qualité
Cependant, ce degré d’interconnexion crée un défi majeur en matière de cybersécurité. L’authentification multifacteur, la supervision des accès distants ou la segmentation des réseaux OT/IT sont encore peu répandus. Les ETI industrielles sont donc technologiquement avancées, mais souvent vulnérables.
Exemple : le groupe Lacroix a investi dans une usine 4.0 en intégrant IoT, big data et cloud – un projet ambitieux mais exigeant en protection des données et en compétences cyber.
Services B2B : IA, expérience client et agilité
Dans les services, la priorité n’est pas l’automatisation des lignes de production, mais la fluidité des process, la qualité de service et l’exploitation de la donnée client. Les projets les plus fréquents en 2025 concernent :
- L’IA au service du support (chatbots, helpdesk automatisé)
- Le scoring et la personnalisation marketing
- L’automatisation de la gestion administrative (facturation, RH, relances)
La transformation numérique y est souvent plus agile : les outils SaaS, les API et le cloud y sont mieux adoptés. Côté cybersécurité, ces ETI sont davantage sensibilisées, mais la dépendance au numérique les expose à des risques systémiques (interruption d’activité, perte de données, phishing sur les collaborateurs…).
Logistique et transport : IA embarquée et traçabilité
Les ETI du secteur logistique misent sur :
- L’optimisation des tournées via IA
- La gestion en temps réel des stocks
- L’automatisation des entrepôts
- La traçabilité des flux et la transparence client
L’IA devient un outil d’optimisation opérationnelle. Mais ces systèmes connectés nécessitent une vigilance accrue en cybersécurité : objets connectés, apps mobiles des chauffeurs, interconnexion avec les clients…
Le cas Heppner illustre cette mutation, avec une transformation numérique centrée sur la performance logistique et l’analyse de données.
Santé, pharmacie : régulation forte, innovation ciblée
Dans ces secteurs, les investissements technologiques sont contraints par une forte régulation (confidentialité, conformité RGPD, traçabilité). Les ETI y investissent dans :
- La sécurisation des données de santé
- L’automatisation des tâches répétitives (comptabilité, RH)
- L’IA appliquée à la gestion des stocks ou à la planification
La cybersécurité y est une priorité absolue, souvent liée à la gestion du risque juridique. Mais les budgets sont parfois limités, et les projets technologiques doivent démontrer un ROI immédiat.
Agriculture et agroalimentaire : digitalisation en transition
Ce secteur est hétérogène. Certaines ETI très avancées adoptent l’agriculture de précision, les capteurs connectés, l’IA pour le contrôle qualité. D’autres restent à la traîne, freinées par des contraintes de rentabilité ou de maturité numérique.
Les enjeux tournent autour de l’automatisation, de la traçabilité alimentaire et de la sécurisation des données de production. Mais les ressources humaines qualifiées manquent souvent pour accompagner cette transition.
Les écarts sectoriels appellent à des approches personnalisées. Pour chaque ETI, le bon investissement technologique n’est pas le plus innovant, mais celui qui résout un problème métier spécifique, améliore l’efficacité ou sécurise un maillon critique de la chaîne de valeur.

Comment Extencia peut accompagner les ETI
Face à l’intensification des défis numériques, les ETI ont besoin de partenaires fiables, capables de comprendre leurs contraintes opérationnelles et d’y répondre avec des solutions concrètes. Extencia ne se positionne pas comme un fournisseur de solutions technologiques génériques, mais comme un cabinet d’expertise engagé aux côtés des dirigeants, avec une capacité unique à intégrer le digital dans les fonctions cœur de l’entreprise.
Des solutions digitales adaptées aux besoins métiers
Extencia a structuré une offre digitale centrée sur la performance des fonctions clés de l’ETI. Cela comprend :
- Solutions RH numériques : gestion des congés, bulletins dématérialisés, coffre-fort salarié, portails RH collaboratifs.
- Outils de comptabilité et gestion en ligne : tableaux de bord, suivi budgétaire, relances automatisées, prévisionnels dynamiques.
- Portails de communication client : partage de documents, suivi en temps réel, interactions sécurisées.
Ces outils ne sont pas proposés “en kit”, mais intégrés aux processus des clients, avec une logique d’accompagnement dans le temps.
👉 Pour découvrir l’offre complète : Solutions informatiques Extencia
Une expertise sectorielle ancrée dans les territoires
Extencia connaît les réalités du terrain. Présent dans des bassins économiques majeurs (Bordeaux, Lyon, Paris, Toulouse…), le cabinet accompagne des ETI dans des secteurs variés :
- Industrie et agroalimentaire : gestion de production, suivi analytique, automatisation de la facturation.
- Pharmacie, santé, professions libérales : conformité réglementaire, pilotage financier, sécurité des données sensibles.
- Services, restauration, BTP : simplification des flux, externalisation administrative, suivi des marges.
Grâce à cette connaissance fine des spécificités métiers, Extencia propose des solutions adaptées au niveau de maturité digital de chaque entreprise.
Un accompagnement humain, au cœur de la réussite digitale
L’outil seul ne suffit pas. Ce qui fait la différence, c’est l’accompagnement. Extencia place le facteur humain au centre de ses missions :
- Formation des équipes à l’usage des outils
- Conduite du changement pour faciliter l’adhésion
- Assistance continue avec des interlocuteurs dédiés et réactifs
- Support juridique, RH et fiscal pour sécuriser les projets
La promesse n’est pas technologique. Elle est opérationnelle, concrète, orientée résultats. Et surtout, Extencia reste proche : les équipes connaissent leurs clients, leurs enjeux, leurs équipes. C’est ce lien de confiance qui transforme une solution digitale en un levier de performance durable.
Ce que 2025 dit des ETI : priorité à l’action ciblée
Les entreprises de taille intermédiaire n’abordent plus la technologie comme un luxe ou une tendance. En 2025, c’est un pilier de leur compétitivité. Les investissements dans la transformation digitale, l’IA et la cybersécurité ne sont plus dispersés : ils sont stratégiques, sélectifs, et mesurés à l’aune du ROI.
Ce qui distingue les ETI performantes, ce n’est pas l’ampleur de leurs budgets, mais leur capacité à investir là où cela fait une différence mesurable : fluidité des opérations, robustesse du système d’information, agilité dans les décisions, confiance des clients.
Mais pour transformer ces ambitions en résultats, encore faut-il être bien accompagné. Le bon partenaire est celui qui comprend vos enjeux, parle votre langage métier, et sait traduire une intention technologique en performance opérationnelle.